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Accueil > Malgré l'absence de confusion possible, la reproduction quasi servile d'une marque constitue une contrefaçon, dès lors que cette imitation a pour objet de dénigrer la société titulaire de la marque -

Marque
/ Jurisprudence


01/09/2003


Malgré l'absence de confusion possible, la reproduction quasi servile d'une marque constitue une contrefaçon, dès lors que cette imitation a pour objet de dénigrer la société titulaire de la marque



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Si un terme adopté en référence à une marque est suffisamment explicite pour qu'aucune confusion ne soit possible, il n'en reste pas moins que la reproduction quasi servile de la marque a été faite sans autorisation du titulaire et constitue une contrefaçon. En l'espèce, l'utilisation par le défendeur du signe “Escroca” pour désigner la société Escota renvoie incontestablement à la notion d'escroc. De plus, des allusions à caractère sexuel formulées sont associées à ...
Tribunal de grande instance, Marseille, 1re ch. civ., 11 juin 2003, SA Escota c/ Sté Lycos, sté Lucent Technologies, M. Nicolas B
 
1er septembre 2003 - Légipresse N°204
143 mots