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Accueil > Les propos tenus lors d'une réunion d'un conseil municipal ne peuvent être condamnés qu'en raison de « motifs impérieux » -

Diffamation
/ Jurisprudence


01/07/2012


Les propos tenus lors d'une réunion d'un conseil municipal ne peuvent être condamnés qu'en raison de « motifs impérieux »



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L'article 10-2 de la Convention Edh ne laisse guère de place pour des restrictions à la liberté d'expression dans le domaine du discours politique ou des questions d'intérêt général. Les limites de la critique admissible sont plus larges à l'égard d'un homme politique, visé en cette qualité, que d'un simple particulier.

En l'espèce, la Cour européenne des droits de l'homme avait été saisie par un conseiller municipal de la ville de Versailles dirigeant un mouvement politique local d'opposition de la ville.Celui-ci avait été condamné pénalement par les juridictions françaises à raison des propos qu'il avait tenus lors d'une réunion du conseil municipal contre un adjoint au maire, l'accusant de faits de corruption. Il estimait que sa condamnation avait constitué une violation de l'article 10 de la ...
Cour européenne des droits de l'homme, 5e sect., 12 avril 2012, De Lesquen du Plessis-Casso c/ France
 
1er juillet 2012 - Légipresse N°296
459 mots