Diff usion d'un article de presse imputant au directeur central du renseignement intérieur d'avoir fait surveiller des journalistes travaillant sur l'aff aire Bettencourt
L'ancien chef de la Direction centrale du renseignement intérieur (dCri) avait fait citer du chef de diff amation envers une personne publique le directeur de la publication d'un journal hebdomadaire ainsi qu'un journaliste, en raison de la publication d'un article lui imputant d'avoir fait espionner des journalistes travaillant sur l'aff aire Bettencourt, sur ordre de l'Élysée, par « un groupe monté à cet eff et au sein de la DCri » et composé de « plusieurs anciens policiers des RG ... 1er mai 2013 - Légipresse N°305
533 mots - 1 décision de justice
Diffamation
Jurisprudence
Relaxe d'un homme politique reprochant les méthodes « fascistes » et « d'un autre temps » employées par un site pour révéler des informations
C'est de la conception commune du public en l'espèce des auditeurs que dépend l'appréciation du caractère contraire à l'honneur et à la considération du fait imputé, selon sa nature, et non de la conception subjective de la partie ...
En l'espèce, un site d'informations avait fait citer devant le tribunal correctionnel, du chef de diffamation, un homme politique qui avait accusé ledit site d'avoir utilisé des méthodes « fascistes » et « d'un autre temps » à l'occasion de ses révélations dans l'affaire Bettencourt, en 2010. Sa réaction faisait référence, notamment, à la diffusion par le site d'enregistrements pirates réalisés par le majordome de la femme d'affaires révélant que celle-ci avait noué des ... 1er mai 2013 - Légipresse N°305
441 mots - 1 décision de justice
Droit d'auteur
Jurisprudence
Un nom patronymique ne peut être protégé par le droit moral d'auteur dès lors qu'il n'est pas une oeuvre de l'esprit
Le droit moral de l'auteur au respect de son nom est attaché à l'oeuvre de l'esprit qui porte l'empreinte de sa personnalité.
En l'espèce, la société Coca-Cola avait choisi de commercialiser des boissons au goût d'orange sanguine sous la marque française dénominative « Coca Cola light sango », dont elle était titulaire.Un particulier dont le nom patronymique était Sango avait assigné ladite société invoquant l'atteinte ainsi portée à son nom d'artiste et à son nom patronymique. Les juges du fond avaient rejeté ses demandes. Celui-ci s'était pourvu en cassation.Pour la Haute Juridiction, c'est à bon ... 1er mai 2013 - Légipresse N°305
262 mots - 1 décision de justice
01/05/2013
Droit d'auteur
Confl it de lois et titularité des droits d'auteur : en ...
01/05/2013
Droit d'auteur
Reprise dans un ouvrage de faits et d'informations faisant ...
01/05/2013
Droit d'auteur
Reproduction de la couverture d'un magazine comportant une ...
01/05/2013
Droit d'auteur
Action intentée en raison de la modification des paroles ...
01/05/2013
Droit d'auteur
Appréciation de la validité de clauses de réécriture et ...