L'esclavage n'est pas un crime contre l'humanité dont l'apologie constituerait un abus de la liberté d'expression réprimé par la loi de 1881
Si la loi du 21 mai 2001 tend à la reconnaissance de la traite et de l'esclavage en tant que crime contre l'humanité, une telle disposition législative, ayant pour seul objet de reconnaître une infraction de cette nature, ne saurait être ...
En l'espèce, renvoyé devant le tribunal correctionnel des chefs d'apologie de crime contre l'humanité et de provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale, sur le fondement des dispositions des articles 1er de la loi du 21 mai 2001 et 24, alinéas 5 et 8, de la loi du 29 juillet 1881, à raison des propos suivants diff usés au cours d'une émission de télévision et sur une plateforme vidéo : « Les historiens exagèrent un petit peu les problèmes. Ils parlent des ... 1er mars 2013 - Légipresse N°303
189 mots - 1 décision de justice
Cinéma
Jurisprudence
Réévaluation judiciaire du fi nancement respectif des coproducteurs d'un fi lm
Une société de coproduction cinématographique de longsmétrages, qui avait signé avec deux producteurs délégués un contrat de coproduction du fi lm « Sans arme, ni haine, ni violence », a assigné ces derniers en justice, considérant qu'ils avaient enfreint les dispositions contractuelles en ne respectant ni le devis et plan de fi nancement contractuel, ni le scénario du fi lm. Elle estimait que les producteurs délégués avaient présenté un devis surévalué pour obtenir un ... 1er mars 2013 - Légipresse N°303
613 mots - 1 décision de justice
Concurrence
Jurisprudence
Adwords : nécessité de prouver le risque de confusion pour retenir la concurrence déloyale
Une société de vente au détail de produits hi-fi et vidéo en ligne, après avoir constaté que la requête de son nom avec le moteur de recherche Google déclenchait, par la mise en oeuvre du service de référencement Google Adwords, l'affi ...
La cour d'appel a jugé que la société défenderesse s'est livrée à des actes de concurrence déloyale, après avoir relevé qu'à chaque fois qu'un internaute eff ectue une recherche du nom de la demanderesse sur le moteur de recherche de Google, il accède automatiquement et sans aucune manoeuvre ou manipulation technique de sa part à une page de résultat diff usant une annonce publicitaire renvoyant vers le site de la société défenderesse. Elle a retenu qu'en utilisant la ... 1er mars 2013 - Légipresse N°303
197 mots - 1 décision de justice
01/03/2013
Diffamation
Google Suggest : la Cour de cassation confirme la bonne foi ...
01/03/2013
Diffamation
Appréciation des critères de la bonne foi en cas de ...
01/02/2013
Vie privée
Prise en compte de la perte d'anonymat d'une personne pour ...
01/02/2013
Racisme
Condamnation d'un humoriste « outrepassant les limites de ...
01/02/2013
Responsabilité
Twitter condamné sous astreinte à communiquer les données ...