Détermination de la date à laquelle doit être apprécié le préjudice subi du fait d'une atteinte à la vie privée pour en fi xer son montant
Les juges du fond ayant à évaluer un dommage subi doivent se placer à la date à laquelle ils statuent.
En l'espèce, un magazine avait été poursuivi pour avoir publié un article consacré à une femme politique et son nouveau compagnon, intitulé « Ségolène Royal C'est offi ciel avec André ! », illustré d'une photographie de leurs deux personnes, prise dans un village charentais au cours d'un déjeuner avec les élus municipaux. Les juges du fond avaient condamné la société éditrice du journal à payer 10 000 euros de dommages et intérêts en réparation du préjudice subi par ... 1er décembre 2012 - Légipresse N°300
333 mots - 1 décision de justice
Vie privée
Jurisprudence
En prenant le risque de s'exposer publiquement avec sa compagne, un footballeur porte une part importante dans la responsabilité des atteintes causées à sa vie privée
En l'espèce, un célèbre footballeur reprochait à un magazine d'avoir publié un article consacré à l'« histoire d'amour » qu'il vivait avec une animatrice de télévision et aux occupations privées du nouveau couple, illustré d'une dizaine de photographies prises alors que les intéressés se trouvaient en vacances dans le sud de la France. Celui-ci avait saisi le juge des référés pour obtenir réparation du préjudice causé par la diff usion de ces informations. Le juge déclare ... 1er décembre 2012 - Légipresse N°300
432 mots - 1 décision de justice
Responsabilité
Jurisprudence
Reconnaissance d'un trouble anormal causé au propriétaire d'un bien par l'exploitation de l'image d'un celui-ci
Si le propriétaire ne dispose pas d'un droit ¦¦ exclusif sur l'image de son château, il est toutefois en droit de s'opposer à l'utilisation de cette image par un tiers lorsqu'elle lui cause un trouble anormal.
En l'espèce, un producteur de vin qui reprochait à une société concurrente d'avoir commercialisé des bouteilles de vin avec une étiquette comportant une représentation du château dont il est propriétaire, a obtenu la condamnation de cette dernière à faire cesser toute commercialisation des bouteilles litigieuse et à lui verser 10 000 euros de dommages-intérêts. L'intéressée a formé un pourvoi en cassation contre cette condamnation, estimant que la cour d'appel n'avait constaté ... 1er décembre 2012 - Légipresse N°300
192 mots - 1 décision de justice
01/12/2012
Responsabilité
Responsabilité du producteur d'un blog : la Cour de ...
01/12/2012
Publicité
Interdiction de publicités pour des véhicules dès lors ...
01/12/2012
Procédure
La Cour de cassation confirme que l'absence du texte de ...
01/12/2012
Prescription
La réimpression d'un texte déjà publié constitue un ...
01/12/2012
Parasitisme
Condamnation d'un site internet reproduisant quasi ...