Les critères de la bonne foi s'apprécient différemment selon le genre de l'écrit en cause, la qualité de la personne visée et de celle qui s'exprime, une plus grande rigueur étant de mise s'agissant d'un professionnel de l'information, tel un journaliste, en raison notamment de sa qualité et du crédit qui s'y attache.En l'espèce, le directeur de la rédaction d'un journal quotidien avait porté plainte et s'était constitué partie civile après avoir découvert la parution d'une ...
Tribunal de grande instance, Paris, (17e ch.), 20 mai 2014, G. B. c/P. Louette et a. Décision non définitive