Enews Legipresse

Recevez la newsletter et entrez dans le Club Légipresse
Valider
Valider l'adresse e-mail pour inscription à l'E-news

Le club Légipresse

Les 2 derniers inscrits
laurent atcheba

responsable logistique

Vidéos

02/09/2016
Fabrice Arfi, Médiapart

Forum 2015 - Informer n'est pas un délit

Toutes les vidéos
Accueil > Toute la jurisprudence

JURISPRUDENCE

Internet
Jurisprudence

L'utilisation par un tiers non autorisé d'un nom de domaine reproduisant une marque enregistrée pour désigner des services identiques est constitutif de contrefaçon au sens de l'article L. 713-2 du code de la propriété intellectuelle

La marque “entrevue” est reproduite de façon quasi servie par la dénomination : “entrevuex.com” qui comporte, outre le terme “entrevue”, la lettre X qui décrit le caractère pornographique du site désigné par ce nom et l'extension “.com” caractérisant l'activité commerciale dudit site. Il sera, en conséquence, fait droit à la demande d'interdiction d'utiliser cette dénomination. En revanche, la demanderesse qui ne verse aux débats aucun élément de nature à étayer ses ... 1er novembre 2000 - Légipresse N°176
188 mots - 1 décision de justice
Internet
Jurisprudence

Sanction de l'utilisation d'un nom de domaine constitutif de concurrence déloyale

Considérant que le dépôt et l'exploitation de noms de domaine constituent des actes de concurrence déloyale, du fait de la reproduction quasi servile, soit littéralement soit phonétiquement, de la dénomination sociale et du nom commercial de la société demanderesse, pour désigner une activité identique, le juge des référés conclut qu'il y a lieu de faire cesser le trouble manifestement illicite. En conséquence, il fait interdiction au défendeur d'utiliser, sous quelque forme que ... 1er novembre 2000 - Légipresse N°176
103 mots - 1 décision de justice
Internet
Jurisprudence

Limite de compétence du juge des référés en cas de contestation sérieuse sur la possible protection d'une marque

En cas de contestation sérieuse sur la possible protection d'une marque, dépourvue de caractère distinctif, nécessaire, usuelle et générique, la question préalable de la validité de la marque “Loto” est suffisamment grave pour empêcher, tant qu'elle n'est pas résolue, de considérer l'action au fond comme sérieuse. En conséquence, le titulaire de la marque est débouté de sa demande d'interdiction, en référé, de l'utilisation d'une marque arguée de contrefaçon. 1er novembre 2000 - Légipresse N°176
87 mots - 1 décision de justice
01/11/2000

Prescription

Point de départ de la prescription de trois mois en cas de ...

01/11/2000

Procédure

Exigences de l'article 53 de la loi de 1881

01/11/2000

Procédure

Lieu de délivrance des assignations en diffamation

01/11/2000

Publications interdites

Conformité de la loi du 2 juillet 1931 de l'article 10 de ...

01/11/2000

Publications interdites

Responsabilité du directeur de la publication pour ...